AGENDA

journées d'étude

LES LOYAUTés - 20 21 MARS 2023

Ce sont des liens invisibles qui nous attachent aux autres-aux morts comme aux vivants-, ce sont des promesses que nous avons murmurées et dont nous ignorons l’écho, des fidélités silencieuses, ce sont des contrats passés le plus souvent avec nous-mêmes, des mots d’ordre admis sans les avoir entendus, des dettes que nous abritons dans les replis de nos mémoires.

Ce sont les lois de l’enfance qui sommeillent à l’intérieur de nos corps, les valeurs au nom desquelles nous nous tenons droits, les fondements qui nous permettent de résister, les principes illisibles qui nous rongent et nous enferment. Nos ailes et nos carcans.

Ce sont les tremplins sur lesquels nos forces se déploient et les tranchées dans lesquelles nous enterrons nos rêves.

Delphine De Vigan « Les loyautés »

Le concept de loyauté est utilisé dans des acceptions variées pour le meilleur et parfois le pire. Il trouve ses fondements dans l’approche contextuelle développée par le psychiatre Ivan Boszormenyi-Nagy.

Lors de ces journées, nous commencerons par situer les bases de l’approche contextuelle, afin que la loyauté n’apparaisse pas comme un concept isolé mais bien enchâssé dans un tout qui lui donne son sens et sa densité.

Nous verrons comment la loyauté met en scène au minimum trois protagonistes puisqu’elle se définit comme une « priorité d’égard » (Boszormenyi-Nagy, 1973) vis à vis de l’un ou de l’autre, selon ce qui a été précédemment reçu et donné dans l’histoire du lien.

Nous verrons comment l’exercice de loyauté représente une source de légitimité constructive, un mouvement de vie et de réciprocité, qui peut avoir des conséquences dommageables lorsqu’il est entravé.

Nous verrons également comment la loyauté verticale est intrinsèquement liée à la dette de vie, tant du côté du parent que de l’enfant, tandis que la loyauté horizontale, elle, répond à d’autres lois.

JOUR 1

9h-12h30
Entre obligation et opportunité, ce qu’est vraiment la loyauté.
Stéphanie Haxhe

14h-17h
Loyauté empêchée, loyauté refusée : comment éviter les pièges de certaines mesures en protection de l’enfance ? 
Sophie Houben

JOUR 2

9h-12h30
Dette de vie, dette de survie…: comment s’adapte la loyauté dans les situations d’exil et de handicap? 
Catherine Lebrun

14h-17h
La loyauté à propos du couple, c’est quoi en fait?
Marie-Christine de Saint-Georges.

Trocadero
6a Rue Lulay des Fèbvres 
4000 Liège
Belgique

TARIF JUSQU’AU 15 JANVIER
140€ forfait indivisible (pas de lunch)
112€ par personne pour un groupe de minimum 5 personnes
70€ pour étudiants et demandeurs d’emploi

TARIF APRES LE 15 JANVIER
170€ forfait indivisible (pas de lunch)
136€ par personne pour un groupe de minimum 5 personnes
85€ pour étudiants et demandeurs d’emploi

 

Paiement sur compte BE95 0689 1013 4758

Pour votre inscription, merci de compléter ce formulaire en ligne.
Votre inscription ne sera définitive qu’à la réception de votre paiement.

Ardoise Pivotante

PRéSENTATION

L’Ardoise Pivotante est un Institut de Formation et de Clinique Contextuelles.

L’Approche Contextuelle d’Ivan Boszormenyi-Nagy privilégie le travail concernant les atteintes à la confiance relationnelle, les injustices passées et présentes, les loyautés douloureuses, avec pour objectif une intervention clinique ancrée dans le présent mais incluant les générations à venir dans une dimension préventive.

En effet, les interventions thérapeutiques en Approche Contextuelle touchent au cœur de ce qui fonde l’être humain : la dette bilatérale de vie et les liens au tissu originaire / familial / transgénérationnel, lesquels forment le « contexte »

La Clinique Contextuelle d’Ivan Boszormenyi-Nagy théorise une pratique de la thérapie familiale caractérisée par un saut épistémologique qui implique une position spécifique du thérapeute d’une part et d’autre part, un travail de dialogue entre les membres d’une famille, lequel dialogue porte sur les injustices vécues, les atteintes à la confiance relationnelle, les déséquilibres entre le donner et le recevoir.

Elle intègre les faits d’injustice distributive ayant d’emblée un impact sur la dynamique relationnelle.
Elle intègre les apports de la psychanalyse et du fonctionnement intra-psychique.
Elle intègre les apports de la systémique.

La visée est l’éthique relationnelle, à savoir le soin porté au lien, et son potentiel d’individuation.

La partialité multidirectionnelle en est le levier thérapeutique.
Le contexte comprend, outre les personnes présentes, les absents, les personnes décédées et, dans un important souci prophylactique, celles qui ne sont pas encore nées.

Cette approche est utile pour les intervenants d’autres champs professionnels: médical, éducatif, social qui rencontrent à foison des situations de vulnérabilité aux traitements d’injustice et qui, de plus, se soucient du futur.

News

  • Du 20 au 24 septembre 2021 : Post-formation de l’outil-thérapeute par les métaphores et les sculptures, réservée aux personnes ayant fait une formation complète comme thérapeutes de familles.
    En savoir plus…
  • Les injustices, une fatalité à travailler notre prochain Colloque Contextuel est donc fixé au 24 et 25 mars 2022.

LES INJUSTICES: UNE FATALITÉ À TRAVAILLER.

Il n’est pas possible de vivre sans infliger des injustices ni d’en subir.
Les injustices relationnelles BLOQUENT le mouvement d’échange, amenuisent la sève du lien et en entament la confiance.

Peu ou prou. 
Et tant pour nous que pour nos patients.

La sédimentation de la rancoeur (le cœur rance..) ne SE DISSOUT JAMAIS d’elle-même.
Quand la confiance ou la fiabilité dans les relations vitales est abîmée voire anéantie, nous savons que la violence n’est pas loin et fera feu de tout bois.

L’intense travail de restauration d’un dialogue dans le terreau familial soutenu par LA PARTIALITÉ MULTIDIRECTIONNELLE est notre profond choix clinique .

ET CE, QUEL QUE SOIT LE CHAMP CLINIQUE.
  • Etant privés de la fluidité des « vraies » rencontres, nous avons pensé que ce serait bien de trouver une autre façon d’entrer en contact avec vous et nous vous proposons quelques capsules vidéo faites à votre intention.
    En savoir plus…
  • Sous réserve en mai 2021 : projet d’une seconde rencontre-travail de 4 jours au Maroc (logement offert) avec Madame Leila Gharbi et le Docteur Amina Bargach concernant la clinique avec les patients marocains et leurs famille, nombreux dans nos professions. 

Formations

Les formations s’adressent à celles et ceux que le mandat confronte à la souffrance humaine quelle qu’en soit la manifestation et dont le souci est d’approcher cette souffrance de la manière la plus ajustée et la plus utile pour les bénéficiaires de ce mandat.

Pour poser votre candidature en nous envoyant CV et motivation, ou demander de plus amples informations, merci de nous contacter par email à info@ardoisepivotante.be en précisant le type de formation concernée. 

Formation LONGUE

La formation contextuelle de Nagy n’est pas à voir comme 4 années successives aux contenus différenciés comme dans beaucoup de formations classiques, mais comme une spirale d’approfondissement d’une position et d’un levier spécifiques qui marquent le saut épistémologique de cette approche.

APPROFONDISSEMENT

Approfondissement des concepts et de leurs interconnexions.
Repérage dans les situations cliniques.
Lectures.

RELATIONS

Le travail axé sur l'éthique relationnelle.
Analyse d'entretiens.
Supervisions de la position clinique du thérapeute ou de l'intervenant contextuel.
Lectures.

SOI-MÊME COMME OUTIL

Génogramme, sculptures.
Repérages dans les supervisions de l'équation personnelle de chaque intervenant.

Ce cycle comprend 9 journées de 6 heures à raison d’une par mois de 9h30 à 16h30 (avec une pause d’une heure à midi), et les 2 journées de notre colloque annuel.

Lieu : Liège, 26 Place Coronmeuse (Herstal).

Coût : 1250€
Paiement sur compte 
BE95 0689 1013 4758

Inscription (joindre CV et lettre de motivation)
Demander plus d’informations

Blocs de formation

(De 2 à 4 jours. Selon le bloc, un prérequis est parfois nécessaire)

Le travail avec le couple.
Le travail avec la fratrie.
Le travail avec les adolescents en hébergement de l’AAJ.
L’enfant parentifié et sa famille.

EN 2023

Le travail du lien fraternel (complet)

Dates : 24 et 25 avril 2023 (2 journées)
Horaire : de 9h30 à 16h30
Formatrice : Stéphanie Haxhe
Coût : 220€
Lieu : 26 Place Coronmeuse à Liège (Herstal)

Conditions: cette formation est ouverte à tout intervenant ayant une pratique avec les fratries, que ce soit dans un cadre thérapeutique ou institutionnel.
CV demandé.

Qu’il s’agisse d’une thérapie familiale ou d’un autre contexte, le lien fraternel reste le plus souvent non interrogé et non travaillé in vivo, entre les frères et soeurs en présence. Quels sont les freins de l’intervenant ? Comment aborder ce lien ? Qui inviter, comment, et pour quoi faire ? 

Après quelques repères théoriques, des axes thérapeutiques seront proposés sur bases d’illustrations cliniques de la formatrice et du groupe. 

 

EN 2022

La thérapie de couples

Dates : 5, 6 et 7 juin 2023 (3 journées)
Horaire : 9h30 à 16h (1h de pause)
Formatrice : Marie-Christine de Saint-Georges
Coût : 330€
Lieu : 26 Place Coronmeuse à Liège (Herstal)

Cette formation est ouverte à tout intervenant en clinique de couples.
CV demandé.

Cette formation n’exige pas des participants qu’ils aient eu ou soient en cours de formation contextuelle mais elle repose sur cette approche.

La question de l’éthique relationnelle, du DONNER-RECEVOIR-PRENDRE-RENDRE parcourt les différents axes qui seront abordés et, forcément, les vécus d’injustice.

  • La mixité
  • L’argent
  • La sexualité
  • L’érotisme ou le Troisième Monde

La partialité multidirectionnelle

Dates : Dates à suivre (3 journées)
Formatrice : Marie-Christine de Saint-Georges  
Coût : 330€
Lieu : 26 Place Coronmeuse à Liège (Herstal)

Cette formation sur le levier essentiel de l’Approche Contextuelle, souvent confondu avec le questionnement circulaire n’est ouverte qu’aux personnes ayant fait une formation complète comme thérapeutes de familles.

Demander plus d’infos

post-formation

(Accessible aux personnes ayant un parcours contextuel avéré)

EN 2023

Les métaphores : la puissance d’un levier créateur

Dates : 23 au 26 octobre 2023 (4 journées) + une seconde session à convenir avec les participants en mai 2024.
Horaire : de 9h30 à 16h30 (1h de pause)
Formatrice : Marie-Christine de Saint-Georges
Coût : 440€ par module
Lieu : 26 Place Coronmeuse à Liège (Herstal)
Conditions : ouvert à un groupe de 12 personnes ayant fait le formation contextuelle ou en cours de formation.

Ce n’est pas un scoop de dire que les grandes religions, depuis les paraboles de la Bible jusqu’aux « aventures » qui animent l’immense panthéon hindou et j’en passe, sont un langage métaphorique. C’est dire aussi leur force.
Aristote parlait déjà de la puissance des métaphores et Milan Kundera écrivait: « On ne badine pas avec les métaphores »
Dans cette postformation, ce support déplie effectivement la force créatrice des participants, que ce soit par le biais d’objets ou le corps même; ce support transforme en richesse ce qui peut être ressenti comme faille, installe un espace transitionnel entre participants – ou patients – et le thérapeute, abolit tout jugement en touchant à la singularité de chaque être, fait place à la mémoire du corps, mobilise l’intelligence émotionnelle.

Les sessions sont séparées pour que dans l’écart, soit expérimenté sur le terrain ce qui aura été métabolisé de la première session et ramener ce qui devrait être ré-approfondi.

Inscription

initiation à l’approche contextuelle pour les équipes

(Module de 1 à 2 journées, in situ)

Supervision

Supervision

La supervision peut être définie comme un lieu de travail s’adressant à des équipes partageant un quotidien professionnel qui peuvent penser leur pratique et échanger leurs questions autour de situations cliniques.

Les situations concrètes qui posent problème seront éclairées et dépliées à la lumière de l’éthique relationnelle et du positionnement de l’intervenant.

Notre équipe de formateurs propose également des supervisions individuelles lors desquelles le travail de réflexion se situe au carrefour du champ personnel et professionnel.

Exemples de secteurs d’interventions :
Accueil familial
Aide à la Jeunesse 
MRS
PMS
Hôpitaux
Unités de soins
Milieu carcéral

Consultations

Thérapie de couple, Thérapie familiale, Thérapie de fratrie.

Liège

Marie-Christine de Saint Georges : 0479/ 26 26 56
Stéphanie Haxhe : 0497 /11 77 16

Esneux

Sophie Houben : 0496/ 97 92 89

Journées d'étude

et ColloqueS

Les loyautés

20-21 mars - Trocadero - liège

Le concept de loyauté est utilisé dans des acceptions variées pour le meilleur et parfois le pire. Il trouve ses fondements dans l’approche contextuelle développée par le psychiatre Ivan Boszormenyi-Nagy.
Lors de ces journées, nous avons commencé par situer les bases de l’approche contextuelle, afin que la loyauté n’apparaisse pas comme un concept isolé mais bien enchâssé dans un tout qui lui donne son sens et sa densité.
Nous avons vu comment la loyauté met en scène au minimum trois protagonistes puisqu’elle se définit comme une « priorité d’égard » (Boszormenyi-Nagy, 1973) vis à vis de l’un ou de l’autre, selon ce qui a été précédemment reçu et donné dans l’histoire du lien.

LES INJustices: une fatalité à travailler

24-25 mars - Trocadero - liège

LES INJUSTICES: UNE FATALITÉ À TRAVAILLER.
Il n’est pas possible de vivre sans infliger des injustices ni d’en subir.
Les injustices relationnelles BLOQUENT le mouvement d’échange, amenuisent la sève du lien et en entament la confiance.
Peu ou prou.
Et tant pour nous que pour nos patients.

La sédimentation de la rancoeur (le cœur rance..) ne SE DISSOUT JAMAIS d’elle-même.
Quand la confiance ou la fiabilité dans les relations vitales est abîmée voire anéantie, nous savons que la violence n’est pas loin et fera feu de tout bois.

L’intense travail de restauration d’un dialogue dans le terreau familial soutenu par LA PARTIALITÉ MULTIDIRECTIONNELLE est notre profond choix clinique .
ET CE, QUEL QUE SOIT LE CHAMP CLINIQUE.

Histoire des comptes familiaux

9-10 mars - Cité miroir - liège

Nul n’échappe au don et à la dette.
Les ravages de leurs aléas font le drame humain de génération en génération.

D’où nous vient cette incontournable dette ?
Comment le donner et le recevoir sont-ils inscrits dans le ventre de l’humain comme baromètre de la relation ?

Collaboration

En collaboration avec VCW, association contextuelle Flandre-Pays-Bas et la Faculté des Sciences Sociales (Uliège)
Logo ULiege
Thérapie contextuelle

Historique

Marie-Christine de Saint-Georges, fondatrice de L’Ardoise Pivotante, relate la genèse de ce projet :


 » En 2006, sous l’impulsion d’une collègue du Cefores, Marie-Cecile Henriquet qui mit à m’en convaincre une certaine énergie, je relevai le défi d’enseigner à un groupe réuni au Meridien à Bruxelles sous la houlette du Docteur Charles Burquel, l’Approche Contextuelle d’Ivan Boszormenyi-Nagy dont j’ai été l’élève aux côtés de  Pierre Michard, Jean-François Le Goff et Gérard Salem entre autres.

En 2002, Étienne Dessoy, collègue au Cefores et professeur à l’Université de Liège, avait mis en relation avec moi une de ses doctorantes, Stéphanie Haxhe.
Cette relation formera le noyau dont l’ASBL est issue.

En 2011, un groupe démarrera également à Liège.
En 2014, nous organisons à Bruxelles, notre premier colloque avec Pierre Michard sur le thème de « La dette bilatérale de vie » et plusieurs journées d’étude avec Magda Heireman.
En 2015, revenue de son post-doc à San-Francisco, Stéphanie Haxhe devient l’oratrice à Bruxelles du second colloque consacré à la fratrie.
Son parcours universitaire nous gratifie d’une série d’articles dont nous donnons d’ailleurs le relevé sur ce site.

Les groupes se multiplient grâce à l’adjonction des formatrices Sophie Houben et plus récemment Catherine Lebrun.

La collaboration avec Pierre Michard se poursuit dans la réflexion et l’intervention ponctuelle dans le processus de formation.

Equipe

Equipe

Stéphanie Haxhe

Stéphanie Haxhe

Docteure en psychologie clinique, thérapeute contextuelle.

Depuis l’obtention de son diplôme (2000), elle pratique la psychologie clinique dans divers secteurs (centres de guidance, aide à la jeunesse), en parallèle à une activité de formation et de supervision. Formée par Etienne Dessoy au cours de son doctorat à l’ULg, elle prolonge sa formation à la thérapie familiale systémique au CEFORES. La rencontre avec M.Ch. de Saint Georges en 2002 l’initie à l’approche contextuelle, à laquelle elle se forme à Bruxelles et à Liège, et qui deviendra son modèle clinique de référence. 

Sophie Houben

Sophie Houben

Psychologue (Ulg 2000), thérapeute contextuelle. Depuis l’obtention de son diplôme, elle travaille au sein d’une institution de placement de l’Aide à la Jeunesse avec des adolescentes en grande difficulté.

Depuis plusieurs années, elle exerce également en tant que thérapeute contextuelle et accompagne des professionnels de l’Aide à la jeunesse dans leur clinique.

Formée au départ à la thérapie systémique (CFTF), elle se forme à la Clinique Contextuelle depuis 2011 et intègre l’équipe des formateurs en 2017.

Catherine Lebrun

Catherine Lebrun

Psychologue (ULg, 1998), thérapeute contextuelle. Depuis 2001, elle travaille dans un centre thérapeutique de jour qui accueille des enfants souffrant de troubles graves de la relation. Depuis 2000, elle exerce également en tant que thérapeute contextuelle dans un centre de guidance. Formée au départ aux thérapies psychodynamique et systémique, elle se forme à la clinique contextuelle depuis 2015 et intègre l’équipe des formateurs en 2021. 

Formateurs invités

Marie-Christine de Saint-Georges

Marie-Christine de Saint-Georges

Psychologue, thérapeute contextuelle, élève d’Ivan Boszormenyi–Nagy.

Après une formation de quatre années ainsi que des supervisions en thérapie psychodynamique à la Ligue Belge d’Hygiene Mentale,  elle suivra des années plus tard ,une formation à la thérapie systémique avec Carmine Saccu (Rome) Robert Neuburger (Paris), Siegi Hirsch et Edith Tilmans dont elle devient la co formatrice au Cefores (UCL).

C’est en 1989 que débuteront sa rencontre avec l’Approche Contextuelle et la formation avec I. Boszormenyi-Nagy en Suisse.

Pierre Michard

Pierre Michard

Pierre Michard est philosophe de formation, docteur en psychologie clinique. Après avoir suivi un cursus psychanalytique, il rencontre Ivan Boszormenyi- Nagy le fondateur de la thérapie contextuelle dont il suit les enseignements durant une dizaine d’années.

Il a travaillé dans diverses institutions l’enfance, hôpitaux de jour, centres médico-psychologiques. Actuellement il se consacre à la transmission de la thérapie contextuelle par la formation et  la supervision. II consulte comme thérapeute privé. Il rejoint l’Ardoise Pivotante en 2020.

Publications

Publications
et vidéos

Vidéos

Ouvrages

de Saint-Georges, M.C. (2004). L’éveil de l’artiste dans le thérapeute. De boeck.

Haxhe, S. (2013). L’enfant parentifié et sa famille. Erès Relations.

Michard, P. (2017).  La thérapie contextuelle de Boszormenyi-NagyEnfant, dette et don en thérapie familiale. De Boeck Superieur.

Stéphanie Haxhe
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Articles

Haxhe, S. & Montulet, F. (2018). De la séparation à la recomposition. Temps, rythmes, légitimités. Cahiers critiques de Thérapie Familiale et de Pratiques de Réseaux (61), 153-171. 

Haxhe, S., Léonard, S., Casman, M.T., Coste, J., Degey, V., de Saint Georges, M.Ch., De Vos, B., Salingros, C., Vrijens, C. (2018). La fratrie comme nouvelle unité stable? Vers une évolution des pratiques en contexte de placement. Cahiers de Psychologie Clinique (50), 61-85.

Haxhe, S., Cerezo, A., Bergfeld, J. & Walloch, J.C. (2017). Siblings and the coming out process: A comparative case study. Journal of homosexuality DOI: 10.1080/00918369.2017.1321349.

Haxhe, S., de Saint Georges, M. Ch., Michard, P. Heireman, M. (2016). Don et dette de vie à l’adolescence. (Revue) Adolescence, 34(3), 597-605.

Haxhe, S. (2016). Parentification and related processes: Distinction and implications for clinical practice. Journal of Family Psychotherapy, 27(3), 185-199.

Haxhe, S. (2014). La famille, ça s’éparpille. Espace de libertés, Bruxelles : Editions Espace De Libertés, 428.

Haxhe, S. & D’Amore, S. (2013). La fratrie face au « coming-out ». Thérapie Familiale, vol. 34(2), 215-230.

Haxhe, S. (2012). Système individuel et système familial : une mise en perspective des modèles de L. Szondi et d’E. Dessoy. Szondiana, 32(1), 6-24.

Haxhe, S. (2010). Nouvelles fratries ? In D’Amore, S. (Ed.), Les Nouvelles Familles (pp. 223-242). Bruxelles : De Boeck.

Haxhe, S. (2008). La parentification : Etude d’un processus. Thérapie Familiale, 29(1), 175-178.

Haxhe, S. (2002). Le complexe de l’intrus, ou l’effet de l’écart d’âge sur le devenir des membres d’une fratrie. Dialogue, 157,107-116.